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#PROJETS DE PAYSAGISME ET D'URBANISME
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le passage couvert Bois de construction-plaqué enveloppe l'usine hydro-électrique du Québec par Atelier Pierre Thibault
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Boisez l'enveloppe de lamelles cette usine d'énergie hydroélectrique par Atelier Pierre Thibault, qui est posté près du Québec « ville fantôme » sur le fleuve d'Ouiatchouan.
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La centrale électrique est située sur l'emplacement du village abandonné de Val-Jalbert dans la région de Saguenay-Laque-Saint-Jean, qui a grandi autour d'un moulin à papier au début des années 1900.
Les machines d'usine ont été actionnées par les chutes d'eau sur le fleuve d'Ouiatchouan qui sont maintenant armées par l'usine hydro-électrique.
Le studio d'architecture du Québec a conçu le belvédère de Val-Jalbert pour déguiser l'usine et pour permettre à des visiteurs à la ville fantôme d'admirer des vues au-dessus du fleuve, du moulin envahi et des maisons préservées du village.
Les lamelles du bois enferment un passage couvert public autour des murs externes de l'usine, l'abritant du soleil d'été et des neige d'hiver.
« A abandonné jusqu'en 1960, le village est maintenant classifié comme emplacement historique, » a expliqué les architectes. « L'expérience offerte par l'emplacement du village historique de Val-Jalbert est assez pour comprendre le besoin d'intégration. »
« C'est pourquoi l'usine hydro-électrique est développée comme une traînée abritée par une enveloppe en bois perforée de latte, » ils s'est ajoutée.
La centrale électrique se repose sur un plinth concret contre une banque raide. Les escaliers s'élèvent autour de ses murs, menant aux positions avantageuses élevées sur les balcons noirs qui projettent hors du revêtement de bois de construction.
Derrière la clôture de bois de construction, les panneaux en verre dans les murs externes de l'usine donnent des avis de l'équipement en dedans.
La végétation d'espoirs de studio commencera développé par la structure à lamelles de bois de construction, l'aidant pour arranger dans ses environnements normaux.
« Cette traînée est ponctuée avec des vues diverses de la chute et du fleuve d'Ouiatchouan qui sont créés par une succession des belvédères suspendus ressemblant à des perches, » a dit le studio.
« Juste comme la nature s'est développée par les ruines de la compagnie de pulpe, la façade de trellis permettra à la végétation environnante de s'élever et cacher ce grand belvédère sur l'emplacement, » a ajouté les architectes.
L'architecte Pierre Thibault, qui a fondé le studio du Québec en 1988, a précédemment conçu une résidence de bord de lac, qui est augmentée au-dessus de sa parcelle de terrain de flanc de coteau sur un ensemble d'échasses minces en métal.