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#PROJETS D'ARCHITECTURE PUBLIQUE
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Arts foncés : un nouveau musée a consacré aux échos de Pierre Soulages la palette de couleur de l'artiste
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Le « nouveau Brutalism » résume une partie du poinçon et de l'air fanfaron du musée consacré à Pierre Soulages qui s'est récemment ouvert à sa ville natale de Rodez.
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Comme convient le plus grand artiste vivant de la France, 94 ans courageux, ce bâtiment sont entièrement abstraits, s'arrangeant avec les galettes monochromes "BOLD" et blocky à travers une position principale au milieu de la ville.
Soulages est connu pour son uniformité, notamment un engagement perpétuel au noir de couleur, et le musée rend effectivement hommage à cette palette, aussi comprenant ses tonalités bleu-foncé et brun-foncé de tache de noix. Le d'oeuvre de chef de la pratique catalanne rcr Arquitectes (facilité étroitement par Narbonne Roques et Passelac fermes), ce jeu géométrique des volumes de verrouillage est, comme le travail de Soulages, tous deux tout à fait « maintenant » mais résonnant d'autres ères de certitude moderniste élevée.
S'étendant plus de 6.600 m carré sur une série de niveaux faits un pas, l'acier distinctif de Corten de la structure crée esthétique automnal rouillé de « brou de noix » de Soulages et la sculpture de Richard Serra ; de même il glassed l'entrée de pavillon a toute la grace austère de Neue Nationalgalerie de Mies van der Rohe's. Ce musée serait heureusement confondu pendant quelques années '60 s'exercent dans la « archéologie de soute », mais avec toutes les finition et finesse d'un établissement culturel contemporain cher.
Après le drame de sa silhouette extérieure, une composition déchiquetée heurtant également de chaque approche, rcr excelle alors avec les galeries réelles elles-mêmes, une chaîne des salons somptueux sombres qui tirent un le long comme si eau du fond. Des vues sont discret filtrées à l'aide des abat-jour, et de tout le jour soigneusement commandé, alors que les murs d'exposition dans des tonalités foncées diverses expliquent le statut de Soulages parmi les décorateurs les plus de raffinage des ploucs à Haslam.
En effet si le musée esthétique, Brutalism admirablement main-travaillé suggère Tom Ford sur des stéroïdes, l'effet final évite toute la stridence, n'importe quel sens d'un « rapport » gratuit, grâce à l'intimité in situ des travaux réels. « Je n'exige rien du spectateur, » Soulages peut hardiment réclamer, mais ce bâtiment, son témoignage final triomphant, demandes très au moindre un détour délibéré.