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#PROJETS D'ARCHITECTURE COMMERCIALE
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La tour olympique emblématique de Montréal renaît sous la forme d'un complexe de bureaux
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La deuxième vie des tours d'observation construites pour les Jeux olympiques va des musées du rock'n'roll aux sites de descente en rappel, en passant par les émetteurs de radio et de télévision plutôt simples.
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Pourtant, la Tour olympique de Montréal, peut-être le plus célèbre de ces édifices en plein essor, même si elle n'a été achevée qu'une décennie après les Jeux olympiques d'été de 1976, n'a pas vraiment eu d'après-vie productive jusqu'à présent.
Grâce au géant québécois des services financiers Desjardins, un nouvel objectif a enfin été assigné à ce monument de béton préfabriqué qui plane dangereusement sur le Parc Olympique.
En étroite collaboration avec Desjardins, la société multidisciplinaire montréalaise Provencher_Roy a laborieusement converti sept des douze étages inoccupés de la tour en de nouveaux bureaux qui serviront de centres d'appels et d'administration pour la banque au cours des quinze prochaines années. Au total, la rénovation, qui a débuté en 2018, couvre 150 000 pieds carrés, soit environ 80 % de la surface louable de la tour. Elle comprend un auditorium, un trio de salons, une salle à manger de 400 places, un centre de bien-être, 25 "salons collaboratifs", une demi-douzaine de bars à café et suffisamment d'espace de travail ouvert pour accueillir 1 400 employés.
Le sommet de la plus haute tour inclinée du monde, à 541 pieds, abrite depuis longtemps un observatoire populaire accessible au public par un funiculaire vitré. Cependant, le reste de l'espace intérieur de la structure inclinée conçue par Roger Taillibert est resté pratiquement vide. Desjardins est maintenant le premier (et le seul) locataire important à l'occuper depuis plus de 30 ans.
C'est une grande nouvelle si l'on considère que le complexe du stade du Parc Olympique - y compris la tour - est considéré par beaucoup comme un éléphant blanc particulièrement flagrant malgré son importance architecturale.
Souvent appelé "Big O" (ou plus communément "Big Owe" pour les habitants de la région en référence à son coût exorbitant de plus de 1,1 milliard de dollars), le Stade olympique de Montréal, en forme de beignet, est le plus grand stade du Canada par sa capacité d'accueil avec 56 000 places assises, mais il a connu très peu d'activités post-olympiques. En l'absence d'un locataire à plein temps depuis le démantèlement des Expos en 2004, le site a été confronté à une longue liste de problèmes structurels et de revers coûteux. Alors que la plupart des critiques ont été adressées au colisée maudit, le fait que sa tour adjacente soit inoccupée depuis 1987 n'a fait qu'aigrir la vue de ces vestiges olympiques quelque peu dommageables.
La rénovation de la Tour olympique, récemment rebaptisée Tour de Montréal, est une étape importante dans une nouvelle direction positive.
L'aspect le plus important de la révision a consisté à retirer une grande partie des panneaux de béton préfabriqués de la tour et à les remplacer par un mur rideau entièrement vitré qui recouvre 60 % de la façade du bâtiment. Selon un communiqué de presse, cette entreprise spectaculaire a constitué le "plus grand défi" de la transformation de la structure "mythique" et a été essentielle pour "créer un environnement de travail agréable"
Les systèmes mécaniques anciens ont également été remplacés et mis en conformité dans le cadre de la rénovation.
Tout au long du processus, Provencher_Roy a veillé à ne pas effacer la place importante de la tour dans l'histoire de Montréal. Les hommages à l'héritage olympique du bâtiment sont distribués dans tout l'intérieur, la plupart sous forme de murales sportives.
"Ce fut un privilège de travailler sur un site aussi exceptionnel qui représente tant dans l'imaginaire collectif", a déclaré Julien-Pierre Laurendeau, architecte d'intérieur chez Provencher_Roy. "Notre stratégie de conception a été de mettre en valeur le caractère architectural spectaculaire de la Tour de Montréal, toujours imprégnée de l'esprit olympique. Le design d'intérieur encourage la collaboration et le partage des connaissances dans un environnement sain, tout en établissant un parallèle avec les valeurs de Desjardins"
Le Stade olympique de Montréal ne perdra probablement jamais sa réputation d'éléphant blanc parmi les plus célèbres d'Amérique du Nord. Mais la tour qui se penche directement au-dessus de lui peut maintenant se réjouir de son nouveau statut d'exemple de réinvention et de réutilisation intelligente et sensible au site.
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