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#PROJETS D'ARCHITECTURE PUBLIQUE
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Void Garden / TAOA
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Il s'agit d'une installation spatiale d'une exposition de groupe d'art public en plein air, qui est exposée dans le "Théâtre élargi /2020 Première exposition d'art public à Nanhai".
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En tant que seul architecte participant à cette exposition, la TAOA a d'abord essayé de coopérer avec l'artiste Wu Didi dans des projets d'art public. Selon l'environnement extérieur spécifié par le commissaire, chaque créateur doit créer un art public auquel le public peut participer. Le projet entier n'a que huit jours pour terminer la construction sur le site, et le coût de la construction et toutes les dépenses doivent être contrôlés dans les 160 000 yuans, qui sont les limites de la création artistique.
La conception part de l'environnement spécifique. Le parc du lac Qiandeng est situé au centre de la ville. En tant que plus grand parc de la ville de Foshan, c'est un lieu de loisirs important pour les citoyens de Foshan. Le site du projet est désigné à la lisière d'une forêt dense dans le parc. La première chose à laquelle nous devons penser est le type d'installation spatiale que nous pouvons faire pour parler avec cette forêt, ce grand parc urbain et cette ville moderne. En construisant un espace sans fonction séculaire, nous pensons qu'il devrait apporter aux gens une expérience différente, une expérience instantanée qui peut soigner les esprits.
Dans un jardin, nous en avons construit un autre et nous espérons que c'est un espace simple, un lieu vide sans contenu réel, qui fait que tout le parc ou même une ville pleine de contenu complexe vide un vide unique. À l'exception de l'eau et de l'air, ce lieu vide ne laisse que des gens qui entrent dans un monde pur pour eux-mêmes. Nous espérons que chaque spectateur sera dans l'état le plus détendu, et verra un monde différent de celui qu'il connaît habituellement. Ici, le monde a un rythme particulier, et se décompose en éléments les plus élémentaires, montrant un état de base derrière le monde compliqué. Nous avons choisi le béton apparent pour définir la limite indestructible, et l'air à l'intérieur semble se solidifier, ce qui en fait un monde "isolé" perceptible. La forme libre s'étend dans la brousse autour des arbres, ce qui donne au béton un aspect plus doux, et l'espace intérieur est transformé et caché, formant un paysage abstrait.
Dans le site, nous indiquons sur une carte l'emplacement précis des arbres. Comme références, nous espérons que la structure pourra compléter ces arbres de manière humble. Nous la plaçons donc dans les fentes des arbres, en la faisant pousser librement comme de l'eau courante. Près d'un côté du chemin du parc, une entrée carrée d'un mètre carré est accrochée au mur, s'ouvrant sur une largeur de 60 cm pour relier les deux mondes intérieur et extérieur, que seule une personne à la fois peut franchir. Le fond de l'espace est rempli d'eau claire, et la plaque creuse en acier inoxydable conserve la même élévation que la surface de l'eau. Marcher dessus, c'est comme flotter sur l'eau.
Ce projet nous fait repenser la frontière entre l'architecture et l'art. Si l'architecture n'est pas nécessaire pour fonctionner, alors qu'est-ce que c'est ? C'est peut-être une imagination structurelle, une structure montrant le néant avec des entités, ou un espace sur le "néant", visant l'"être" imprévisible de la nature. Les arbres et les scènes du ciel se reflètent les uns sur les autres sur la tête et les pieds des gens, faisant des quatre saisons la partie principale de cet espace. L'espace vide est rempli de paysages. Les gens obtiennent la scène réelle filtrée dans le vide, tout comme ils découvrent qu'il existe un monde extérieur au monde.