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#PROJETS D'ARCHITECTURE PUBLIQUE
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Champ d'accélération
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Après que « la matière foncée » ait présenté à la galerie de Chaufferie à Strasbourg, le « champ d'accélération » est la deuxième partie d'une trilogie dans les travaux en verre ; la troisième partie aura lieu à la galerie de Patricia Dorfmann à Paris.
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Baptiste Debombourg avait fonctionné avec le verre depuis 2005 et le champ d'accélération (d'accélération de champion) est son installation à grande échelle plus complexe (250 mètres carrés) jusqu'ici, le premier, aussi, pour s'exposer à la lumière normale d'extérieur. Cette installation appartient à un cycle où le verre colonise l'espace, parfois traité pour se transformer en noir comme dans la matière foncée (noire de Matière) à Strasbourg (La Chaufferie, 1er octobre-15 novembre 2015), ou est partie dans le cru avec ses tonalités bleuâtres et vertes (écoulement, 2013, Québec), ou le jeu avec le verre souillé comme dans une chambre d'abbaye de Brauweiler en Allemagne, où le matériel succède les fenêtres (antenne, 2012).
Doesn en verre ? intérêt de t l'artiste pour le métier artisanal qu'il exige, sa fragilité intrinsèque ou sa pureté. Vu par le prisme de Marcel Duchamp ? le verre célèbre et accidentellement fendu de s grand, verre est pour Debombourg le produit d'une alchimie foncée, un matériel animé. D'ailleurs, les plaques de verre stratifiées qu'il utilise sont fastidieusement fendues avec un marteau, sans disperser (le matériel est fait de deux couches métallisées). Le verre peut alors indiquer sa dureté, sa capacité de se transformer en constellation, avec une histoire qui est soulevée sur la surface, qui était jusque-là lisse, sans aspérités. Intensément construit, modelé, soumis à une mise à niveau rigoureuse, le dessin-modèle est néanmoins apparent pour un élément d'aspect aléatoire, et une durée qui appelle pour s'occuper de sa nature éphémère et transitoire, où le temps continue à l'déchirement.
Baptiste Debombourg a un esprit contradictoire de toute façon. Là où nous pourrions lire le travail comme acte d'agression contre ce type de réputé en verre être dur et presque incassables, ou comme résultat d'un geste de la fureur ou de la colère contre ces stratifications conçues en tant qu'ainsi ne pas diviser en million de morceaux une fois soumis aux impacts violents ; là où nous sentirions une violence latente modérée, l'artiste se voit plutôt quelqu'un qui deconstructing et qui conçoit les accidents qui transforment le matériel pour obtenir à un autre niveau de réalité. Là où un morceau de verre serait rejeté pour une coupure, une aspérité, une bulle ou une fente de délié, Debombourg cultive des erreurs en poussant l'expérimentation aux limites de la destruction. Où nous effort dissèquent étroitement le verre ? propriétés de s, son transparent ; l'artiste transpose son geste dans le royaume de la peinture. Là où nous serions tentés pour voir les objets en verre, l'artiste esquive l'issue et place ses dessin-modèles près du mur, pour éviter l'objectification et pour obtenir plus près de la peinture. Quand un titre toponymique pourrait être prévu devant un champ en verre, avec ses courbes molles, champ d'accélération se penche davantage vers la science-fiction et l'univers de l'espace. Comme états d'artiste ? la tradition dans l'histoire de l'art est de représenter ce qui est au delà de nous ?. Expédiez, la matière de l'univers, particules et les trous noirs tous appartiennent-ils à Baptiste Debombourg ? intérêts de s.
Le champ d'accélération est une sculpture, mais d'une manière primordiale c'est un paysage in vitro, une altitude axonométrique dont la structure peut être perçue en cette topographie fortuite en suivant ses courbes et ondulations. Avec Debombourg ? le travail de s, chaque installation est éphémère et contextuel ; d'ailleurs ici au fard à joues de Maison de La, où chronométrez semble se tenir vraiment toujours derrière le patio ? fenêtres de s, dans un état suspendu entre un fluide, un matériel tempétueux et une certaine forme d'inertie et de pesanteur. Tout est sous la tension, entre un sentiment du speediness qui dissout des contours et des structures avec un effet de vague, et un de commande et de maîtrise. Rien n'est aléatoire ici ; tous les coups sont expliqués avec la patience d'un orfèvre.
Avec ce travail changeant les propriétés du verre, le champ d'accélération l'éclaire, joue avec la lumière du soleil, et impose sa vie, matériel de décalage. C'est un endroit, un décor, une surface raboteuse, endommagée avec un skillfulness paradoxal, un jeu sensible de l'équilibre inaccessible au visiteur. Ce dernier est invité à rester derrière le mur en verre lisse, inerte et sans couture [du patio], pour regarder ce autre morceau de verre qui a vécu et a dépassé sa constitution pour devenir un espace sensible.
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